13 octobre 2016
Dès la première phase du projet SKA, SKA1, les signaux électriques captés par des milliers d’antennes localisées dans les déserts australiens et sud-africains seront transportés avec des taux de plusieurs Tbit/s jusqu’aux super-ordinateurs installés à Perth et Cape Town. Ces données brutes deviendront des images 4D (position, temps, fréquence) du ciel à travers une chaine algorithmique complexe, qui demandera une puissance de calcul de plusieurs centaines de PFlops. Le taux de croissance de l’archive de SKA, qui mettra à disposition de la communauté astronomique les produits prêts pour l’analyse scientifique, sera de l’ordre de 50 à 300 Pbytes/an.
Dans ce cadre, la coordination SKA-France a présenté un poster au Innovatives « Big Data », un évènement CNRS organisé en partenariat avec EDF, Thales et Cap digital le 13 octobre 2016 au siège du CNRS.